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Le nombre d’or

Le nombre d’or (ou section dorée, proportion dorée, ou encore divine proportion) est une proportion, définie initialement en géométrie.

L’histoire de cette proportion commence à une période de l’Antiquité qui n’est pas connue avec certitude ; la première mention connue de la division en extrême et moyenne raison apparaît dans les Éléments d’Euclide.

À la Renaissance, Luca Pacioli, un moine franciscain italien, la met à l’honneur dans un manuel de mathématiques et la surnomme « divine proportion » en l’associant à un idéal envoyé du ciel.

Cette vision se développe et s’enrichit d’une dimension esthétique, principalement au cours des xixe et xxe siècles où naissent les termes de « section dorée » et de « nombre d’or ».

Il est érigé en théorie esthétique et justifié par des arguments d’ordre mystique, comme une clé importante, voire explicative, dans la compréhension des structures du monde physique, particulièrement pour les critères de beauté et surtout d’harmonie ; sa présence est alors revendiquée dans les sciences de la nature et de la vie, proportions du corps humain ou dans les arts comme la peinture, l’architecture ou la musique.

Certains artistes, tels le compositeur Xenakis ou le poète Paul Valéry ont adhéré à une partie de cette vision, soutenue par des livres populaires. À travers la médecine, l’archéologie ou les sciences de la nature et de la vie, la science infirme les théories de cette nature car elles sont fondées sur des généralisations abusives et des hypothèses inexactes.

Source : Wikipedia.

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